Périodiquement, un souffle, et devant vos yeux,
Un lever de soleil derrière une Terre nue,
Sphère bleue.
Imaginez entendre le noir galactique,
Percé de grains de sel scintillants.
Admirez les astres du jour et de la nuit simultanément,
Bercés par l'immensité du paysage orgasmique.
Imaginez l'ultime liberté,
Légèrement léviter,
Faire enfin partie de la beauté,
L'enveloppe corporelle, dans l'infini, dissolvée.
2 commentaires:
J'aime bien. On se prend à l'imaginer et à rêver un peu...
J'ai fait un rêve de droguée à cause de ce poème là...
Et c'était pas agréable pentoute.
Mme Kerr y était, à moitié morte, mon père essayait de me tuer alors je tentais de sortir d'une maison hantée, je «conduisais» une espèce de vieiille voiture folle avec les amis de mon frère dedans et je recevais le contenu d'un frigo par la tête, à des vitesses dépassant les limites permises. Le tout, dans l'espace.
«wribill»
Enregistrer un commentaire