Pa dada Padada Daaaaaaaaam! ainsi claironnent la trompette et les deux saxophones alto au début de mon dernier chef-d'oeuvre (j'exagère.... c'est une pièce d'une minute qui a pour but d'attirer l'attention, c'est de la pure publicité...)
Vous allez entendre ma composition, si vous êtes un lauréat, bien sûr.
En effet, j'ai gagné le concours de composition du thème de cette magnifique soirée qu'est la soirée des lauréats.
Avec l'honneur d'avoir gagné, vient un 100$
Toujours mieux qu'une claque en pleine face, non?
mercredi 29 avril 2009
Soirée des lauréats
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Dieu, l'impuissant
Quand? eh bien :
4/29/2009 06:55:00 PM
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Ma vie
dimanche 26 avril 2009
Je la regarde
-Qu'est-ce tu veux?
-Je voulais savoir ce qui allait pas
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Dieu, l'impuissant
Quand? eh bien :
4/26/2009 06:53:00 PM
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Ma vie
samedi 25 avril 2009
Des infirmes
Histoire de couples m'a fait pensé à ceci : est-ce que ça ce peut quelqu'un qui a perdu son toucher, son odorat ou son goût?
si oui, alors j'associerai celui qui a perdu l'odorat avec le sourd, le goût avec le muet et le toucher avec l'aveugle.
En effet, celui qui est sourd peut difficilement parler et quelqu'un qui aurait perdu l'odorat peut difficilement goûter.
Celui qui a perdu le goût va avec le muet, car les deux n'utilisent pas leur bouche complètement et ces deux infirmes ont rapport avec ceux mentionnés ci-dessus.
Celui qui a perdu le toucher est associé à l'aveugle par élimination....
voilà, j'espère que j'ai su vous divertir!
si oui, alors j'associerai celui qui a perdu l'odorat avec le sourd, le goût avec le muet et le toucher avec l'aveugle.
En effet, celui qui est sourd peut difficilement parler et quelqu'un qui aurait perdu l'odorat peut difficilement goûter.
Celui qui a perdu le goût va avec le muet, car les deux n'utilisent pas leur bouche complètement et ces deux infirmes ont rapport avec ceux mentionnés ci-dessus.
Celui qui a perdu le toucher est associé à l'aveugle par élimination....
voilà, j'espère que j'ai su vous divertir!
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Dieu, l'impuissant
Quand? eh bien :
4/25/2009 12:14:00 PM
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questionnement
vendredi 24 avril 2009
Réédition de Simon
Après un commentaire, j'ai fait des paragraphes! J'aimerais avoir des "remaques personelles" svp!
Pis là, durant que je jouais avec mon chandail, ben j’ai dit «Ben, comme tous les amis, j’m’ai levé, j’ai déjeuné… Comme déjeuné, ben j’ai mangé des céréales, pas des œufs, pass’ maman s’occupait de ma petite sœur, c’est un bébé nouveau-né. Après, j’ai… j’ai… j’m’ai bross… Non, non, avant j’ai porté mon bol dans le lav’aiselle pass’ sinon maman e’ m’engueule pis e’ dit que chu pas responsable.
Après, j’me suis brossé les dents, pis j’ai brossé mon chien, maman e’ dit qu’y’est fatikant pas’qu’y wouf euh… jappe tout l’temps, pis qu’y faut qu’e’ fasse sa crotte tout l’temps, pis qu’y faut qu’e’ prenne sa marche tout l’temps, mais qu’el’a pas le temps à cause du bébé, pis qu’y est fatikant pas’qu’y…jappe tout l’temps pis c’est ça…………
Pis après j’attends l’autobus jaune scolaire. Avant, ma maman m’emportait à l’école en auto, mais là ya le bébé… Pis là, ben, à l’école, ben, ben là vous l’savez, vous êtes là quand chu là…
Pis après j’rentre à maison, j’écoute la tévévision, pis je soupe… j’mange souvent du Krafff Dinner pass’ maman e’ dit qu’elle a pas le temps de popoter. Avant, c’était papa qui faisait le souper, mais là y travaille chez UPS, pu chez B.S., fait qu’y est là tard le soir quand je fais dodo.
Après souper, j’vais me bross… Non, je dépose délicatement et sans faire de bruit mon assiette dans le lav’aisselle. Après, j’me brosse les dents, pis dodo! Pas de chichis pour aller faire dodo, ma maman elle a pas le temps pour ça, elle doit chanter une chanson au bébé pour l’endormir. J’aime ça pass’ je l’entend quand même, même si elle est pas dans ma chambre, pis ça m’aide à m’endormir. C’est sûr c’était plus mieux quank-e’ chantait dans ma chambre, mais là, ya le bébé. Je me demande si yé trop petit pour que maman lui donne un bisou sur le front, maman e’ m’a dit qu’y faut pas toucher à tête du bébé, pass qu’y a la tête molle. Yé chanceux, maman me crie tout le temps que j’ai la tête dure…pis c’est ça là………
Ah oui! Pis pendant le dodo, je fais tout le temps des cauchemars, pis j’aime pas ça, mais je dois quand même rester dans mon lit. ‘Ment donné, j’en ai fait un. Ça faisait pas peur, ben oui là, mais pas comme quand Jérémy y fait BEU dans mon dos. C’qu’y est différent d’avec ça, c’est que ça fait comme si kekun pinçait mon cœur, mais pas juste une minute, au moins cent minutes! Pis j’avais comme l’impression de courir mais de pas avancer. Tsé, je forçais vraiment fort, pis mes jambes faisaient bobo, comme si maman m’avait échappé sa tasse de café dessus.
J’forçais tellement que j’étais presque couché par terre. Tsé quank-on essaye de courir dans l’eau, ben sa marche pas, en, ben c’était la même chose mais au moins mille fois plus pire. En plus là, y’avait kèkechose qui courait vers moi. Je le voyais pas, pass’ j’étais pas capable de tourner ma tête mais je sentais sa senteur qui puait jusque dans mon nez. Y puait tellement que mon cœur était pincé encore plus fort, pis je sentais que mon bedon remontait, comme quank-on vient de courir du plus vite qu’on peut pendant au moins cent minutes pis que t’as de la misère à respirer.
Pis j’continuais d’essayer de courir, pis mes jambes marchaient pas, pis le truc en arrière se rapprochait, pis mon cœur me faisait mal, pis j’avais d’la misère à respirer, pis mes bras étaient comme du Jell-O, pis j’continuais d’essayer de courir, pis ça marchais pas, pis j’avais chaud, pis froid en même temps, pis le truc se rapprochait, de plus en plus, pis (BANG!!!)
Ben là j’me réveille, mais je pleure pu, pass’ maman dit que chu pu un bébé. Mes cheveux sont tout mouillé, comme quand on sort d’la douche, mais y sont froids. Toutes mes couvertes pis mon oreiller sont à terre, mais je peux pas les ramasser pass’ j’ai comme pu d’énergie, j’ai comme mal dans l’cou, comme quand que j’écoute la tévévision couché… Pour de vrai, c’est pas pour ça veux pas aller chercher mes couvertes, ben oui là, mais aussi pass’ j’ai peur un monstre fasse BEU dans l’noir comme Jérémy pis qu’y mange mon orteil.
Un peu plus tard, y commence à faire plus froid, mais j’ai pas bougé. J’entends l’horloge de la cuisine faire tictic pis ça m’énerve. Je suis pas capable de me rendormir tout seul, j’ai trop peur, fait que là, ben, j’essaie de mettre mon pied par terre, mais c’est pas facile…. Là je réussit, pis je me dépêche pass j’ai peur un monstre fasse BEU, pis j’ai pas envie qu’y me mange un orteil, fait que j’ai comme des frissons dans le dos.
Mais là, y faut pas que je fasse de bruit pour pas réveiller personne, surtout pas le bébé, maman serait pas contente… E’ dit qu’y est fatikant des fois pass y pleure pass y fait pas encore ses nuits, pis là maman e’ le prend dans ses bras pis e’ va lui chanter une chanson super douce pour qu’y se rendorme pis que maman aussi. Mais là c’est dur, pass à chaque pas que j’avance dans le passage, ça fait cric cric, pis j’ai peur le chien se réveille pis qu’y pense chu un voleur méchant pis qui….. jappe pis qu’y réveille tout le cartier, pis là maman serait pas contente de moi pass j’aurais réveillé tout le cartier pis le bébé en plus.
Mais là le chien se réveille pas fait que chu content. Pis là j’rentre dans la chambre de maman pis la je lui dit en chuchotant pour pas réveiller tout le cartier pis le bébé pis le chien….. mais là ça sort pas je sais pas pourquoi, ben oui là, j’avais la gorge bloquée, comme quand qu’on est vraiment triste pis qu’on veut pas pleurer pass on veut pas personne le remarque, fait que je touche à maman, chu sûr e’ va comprendre ce que je veux dire, mais sans les mots. Pis là maman ouvre les yeux, e’ me regarde, pis e’ dit :
«Tabarnac Simon, t’as 5 ans, t’es assez vieux pour dormir tout seul!» fait que je retourne dans ma chambre pis j’attend que c’est le temps de déjeuner.
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prose
Histoire de pronoms
Le dernier message que j'ai écrit m'a fait penser à une autre histoire que j'avait rédigée. Elle est du même style
Un bon matin, Je décida d'aller se promener. En voyant la belle Tu, il eut plein de verbes d'état à son égard.
Je alla alors parler à son ami Il qui lui dit de passer de l'état à l'action.
Alors, notre personnage principal accompagné de Tu conjuguèrent une foule de verbes, autant d'action que d'état.
À la longue, Nous apparut.
Leur copain Il fit la même chose de son côté avec sa belle Elle. Ce couple eut plusieurs enfants:Ils et Elles.
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prose
Histoire de couples
Il était une fois, trois couples qui n'allaient pas bien.
L'un était composé de deux muets. Les deux amoureux étaient très malheureux, car ils étaient dans une position associée au plaisir et à la passion depuis trop longtemps. Chacun d'eux avait atrocement mal. Ils ne pouvaient rien faire, car ils montraient sur leurs figures une expression de jouissance, tous deux voulant faire plaisir à l'autre, et ils ne pouvaient pas dire ce qu'ils ressentaient vraiment, vu leur handicap.
Un autre était composé de de deux sourds. Ceux-là étaient toujours en chicane ; ils n'arrivaient pas à s'entendre. Leur seul point commun était leur surdité. Ils criaient toujours, dévoilant les problèmes les plus profonds du couple, mais ils ne daignaient jamais s'écouter. Il faut dire que les deux aimaient beaucoup sentir les vibrations de leur voix. Un matin, l'un parti sans se faire entendre.
Un troisième couple était composé d'aveugles. Ceux-ci se mentaient continuellement, mais ils ne s'en apercevaient pas, ne pouvant se mirer mutuellement les expressions faciales. Chacun d'eux avaient d'autres amants. Leur qualité, paradoxalement, était leur confiance aveugle. Pour cela, ils s'aimaient davantage tous les jours. Mais, lorsqu'un des partenaires découvrit le petit jeu de l'autre, il fit voir à l'autre que leur relation était finie.
Quelques temps plus tard, tous les couples séparés, d'autres se formèrent. L'aveugle vint à aimer la muette. Ils s'entendaient très bien et ça se voyait. L'un avait confiance en l'autre pour le guider dans les chemins plus endommagés de la vie et l'autre pouvait apprécier les expressions de l'autre quand il lui faisait plaisir.
L'autre muet vint s'accoupler avec la sourde. Ils allaient à merveille. Pendant que la volubile parlait, l'autre écoutait et ne répliquait pas. Le muet était content, il faisait plaisir à sa bien aimée, soumis.
Le troisième couple à se former était celui de la féminine aveugle et du sourd. La non voyante ne pouvait tromper personne, elle n'en avait pas le temps ; le sourd parlait. Bien sûr le sourd pouvait décrire la beauté de l'aveugle, qui en était enchantée. Elle ne pouvait que le croire, car elle était dotée d'une confiance à toute épreuve.
Tous eurent beaucoup d'enfants infirmes
FIN
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prose
Citations de madame Lavoie
Aujourd'hui, madame Lavoie parlait des danger de la route dans le cours de FPS et voici ce que j'en ai retenu...
La conduite automobile, c'est aussi le filles qui la causent, mais encore moins que les gars, bientôt oui, mais encore moins.
Zéro tolérance pour l'alcool pour vous, hein, une tite goutte, hein, impossible.
La conduite automobile, les routes aussi, faut savoir lire, combien de gens font des inflexions?
Aussi, l'homme dans le film qui essayait d'intimider et d'être amical (par son salut à la fin) avait une barbe atrocement dépouillée.
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Ma vie
lundi 20 avril 2009
Résultats
J'ai eu les résultats du concours de musique : je suis arrivé 4e avec la note de 95%.
Le 3e a eu 95,5%
J'ai donc raté une bourse de 0,5%...
J'ai aussi fait des tests physiques aujourd'hui, pour monter mon prochain programme d'entraînement. Le verdict était bon : je suis presque parfait partout, sauf qu'il faut que je fasse plus d'abdos et d'ischiojambiers. Que je sois presque parfait veut seulement dire que je suis équilibré; mon côté gauche est aussi fort que mon côté droit, j'ai un bon équilibre les yeux fermés, j'ai un bon soutient au niveau du tronc... Mais, on peut toujours travailler plus, alors c'est ce que je ferai!
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Dieu, l'impuissant
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4/20/2009 09:53:00 PM
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Ma vie
dimanche 19 avril 2009
Les Canadiens barbus?
Je ne comprends pas pourquoi il ne faut pas se raser pendant les séries...
En tout cas, le Canadien de Mtl ne vaut pas que je laisse pousser ma barbe miteuse plus développée à gauche qu'à droite....
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Ma vie
samedi 18 avril 2009
Concours de solistes et de petits ensembles
Je suis revenu de mon concours à Victoriaville, où les fiers représentants du Collège, qui n'étaient que deux, ont eu du plaisir de constater qu'ils se faisaient du soucis pour rien, ou presque... L'avenir appartient à ceux qui rêvent, je ne croit pas, ceux qui se lèvent tôt et qui travaillent je crois plutôt. (sans aucunes offances) En effet, on croit souvent que la vie d'artiste consiste à végéter en attendant l'inspiration, qu'ils ont un talent naturel pour leur art et tout et tout... MAIS C'EST FAUX!!! On ne peut pas vivre artiste sans travailler. Même Greg Patillo (beatboxing flute) l'a dit, mais je retrouve plus le vidéo, pour vous le montrer... Tout ça pour dire que mon ami trompetiste et moi avons bien joué, grâce à toutes les gouttes de sueur que nous avons essuyées ainsi qu'à notre passion. Malheureusement, je n'ai pas pu l'écouter. J'arrivais en courant lorsque celui-ci sortait de sa salle d'audition... Le plus pénible aujourd'hui fut les trajets d'auto... Pour l'aller, ce n'était pas trop pire, seulement 2h de routes, mais le retour...! oh! comme le tunnel LHP était fermé (rénovations je crois), tout le monde s'en voyait dévié vers le pont Jacques-Cartier. 2h furent nécessaires pour arriver à quelques 500 mètres avant le pont, à partir de Victo, 1h d'attente pour parvenir au pont et 45 minutes pour traverser le pont et se rendre chez nous.... Je ne vous souhaitent pas de vivre ça... Après, on sait ce que ça fait avoir les fesses carrées... Ce que j'ai trouvé le plus insultant, c'était que plusieurs sont allés sur la voie complètement à droite, réservée aux personnes en panne ou aux dépanneuses, et qui nous faisaient ensuite un sourire ou un air de "ben là, t'es ben conne de pas me laisser passer!(ma mère conduisait)"pour qu'on leur permettent de nous usurper notre plasse!
J'aurai les résultats de la compétion demain ou lundi.
J'aurai les résultats de la compétion demain ou lundi.
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Ma vie
vendredi 17 avril 2009
Voyages
Quand je pense que plusieurs de mes amis revienent de votage et que moi je ne suis jamais sorti du Québec (sauf pour aller au camp Pok-O...). Non, moi je n'ai rien fait cette semaine : je me suis reposé, j'ai achété un nouveau vélo et je l'ai fait ajuster à moi (question de ne pas me blesser aux genoux et autres) j'ai à peine entâmé les tâches scolaires et j'ai pratiqué ardamment pour mon concours de demain. Je jouerai le concertino de Chaminade. C'est une bonne pièce de concours : une partie lente pour montrer sa capacité d'expression lyrique et ses qualités sonores ; une partie plus endiablée pour montrer la virtuosité et l'énergie du flûtiste. J'ai aussi un concert prochainement, le 21 ou le 27, ma prof est encore indécise. J'y jouerai le troisième mouvement du concerto en sol majeur de Quantz. C'est une pièce baroque tandis que le Chaminade est un morceau, plus moderne, de musique de salon française. Je retourne à mes gammes...
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Ma vie
lundi 13 avril 2009
L'exterminateur
Aujourd'hui, un exterminateur vient pour tuer toutes les fourmis qui se trouvent chez moi. Je trouve que c'est inutil, elles ne font de mal à personne, mais ma mère veut anihiler toutes ces petites bestioles. L'homme mandaté de l'extrermination va mettre un produit toxique dans toutes les pièces de la maison, y compris ma chambre. Je ne tiens pas vraiment, en fait vraiment pas, à être intoxiqué. Ma mère m'a même ordonné de faire le ménage de ma chambre. Un seul critère : il faut que le plancher soit débarrasé de tout ce qui repose dessus, pour que l'exterminateur puisse bien étendre son produit mortel partout... eh bien c'est fait, il ne reste qu'à subir les dommages engendrés par la folie de ma mère... je vous tiendrai au courant, si j'ai encore toute ma tête, ou si je ne suis simplement pas mort ou à l'hôpital.
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Ma vie
samedi 11 avril 2009
Insolitude
Non! Vivre! Quoi?
Non, vivre, moi...
Mourir est l'Issue
Mourir me tue
Insolite solitude
Exil final
Ermite troglodityque
dans mon désepoir carapacique
Étrangeté : mon coeur
Je me meurs!
et ça me tue
Je me tais...
Non, vivre, moi...
Mourir est l'Issue
Mourir me tue
Insolite solitude
Exil final
Ermite troglodityque
dans mon désepoir carapacique
Étrangeté : mon coeur
Je me meurs!
et ça me tue
Je me tais...
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4/11/2009 12:18:00 PM
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poème
Soulagement
En fin d'après-midi, une pression m'accable
Comme une envie de m'exprimer vulgairement.
Tout le monde en serait content!(En fait, je mens...)
J'ai crainte qu'on me regarde, assis à ma table.
Un long moment, je me retiens! Est-ce que j'ose?
J'observe l'horloge tourner... la cloche, QUAND!?
Depuis longtemps j'attend, la pression m'attaquant
Trop ardemment... le tintement! Et hop, J'EXPLOSE!!
Comme une envie de m'exprimer vulgairement.
Tout le monde en serait content!(En fait, je mens...)
J'ai crainte qu'on me regarde, assis à ma table.
Un long moment, je me retiens! Est-ce que j'ose?
J'observe l'horloge tourner... la cloche, QUAND!?
Depuis longtemps j'attend, la pression m'attaquant
Trop ardemment... le tintement! Et hop, J'EXPLOSE!!
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Dieu, l'impuissant
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4/11/2009 12:12:00 PM
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poème
vendredi 10 avril 2009
Simon
Simon: L’aut’ jour, à l’école, madame Sophie ell’a demandé à la classe de raconter une journée dans ma vie. Fait qu’moi j’ai levé ma main, pis e’ m’a choisi pass’que j’étais assis jus’ sur une fesse pour être plus dans les airs que les autres amis, pis j’me suis levé debout, pis j’ai commencé à raconter ma journée. Ben, pas tout suite tout suite là, pass’ je savais pas par quoi commencer là, mais… Pis là, durant que je jouais avec mon chandail, ben j’ai dit «Ben, comme tous les amis, j’m’ai levé, j’ai déjeuné… Comme déjeuné, ben j’ai mangé des céréales, pas des œufs, pass’ maman s’occupait de ma petite sœur, c’est un bébé nouveau-né. Après, j’ai… j’ai… j’m’ai bross… Non, non, avant j’ai porté mon bol dans le lav’aiselle pass’ sinon maman e’ m’engueule pis e’ dit que chu pas responsable. Après, j’me suis brossé les dents, pis j’ai brossé mon chien, maman e’ dit qu’y’est fatikant pas’qu’y wouf euh… jappe tout l’temps, pis qu’y faut qu’e’ fasse sa crotte tout l’temps, pis qu’y faut qu’e’ prenne sa marche tout l’temps, mais qu’el’a pas le temps à cause du bébé, pis qu’y est fatikant pas’qu’y…jappe tout l’temps pis c’est ça………… Pis après j’attends l’autobus jaune scolaire. Avant, ma maman m’emportait à l’école en auto, mais là ya le bébé… Pis là, ben, à l’école, ben, ben là vous l’savez, vous êtes là quand chu là… Pi après j’rentre à maison, j’écoute la tévévision, pis je soupe… j’mange souvent du Krafff Dinner pass’ maman e’ dit qu’elle a pas le temps de popoter. Avant, c’était papa qui faisait le souper, mais là y travaille chez UPS, pu chez B.S., fait qu’y est là tard le soir quand je fais dodo. Après souper, j’vais me bross… Non, je dépose délicatement et sans faire de bruit mon assiette dans le lav’aisselle. Après, j’me brosse les dents, pis dodo! Pas de chichis pour aller faire dodo, ma maman elle a pas le temps pour ça, elle doit chanter une chanson au bébé pour l’endormir. J’aime ça pass’ je l’entend quand même, même si elle est pas dans ma chambre, pis ça m’aide à m’endormir. C’est sûr c’était plus mieux quank-e’ chantait dans ma chambre, mais là, ya le bébé. Je me demande si yé trop petit pour que maman lui donne un bisou sur le front, maman e’ m’a dit qu’y faut pas toucher à tête du bébé, pass qu’y a la tête molle. Yé chanceux, maman me crie tout le temps que j’ai la tête dure…pis c’est ça là……… Ah oui! Pis pendant le dodo, je fais tout le temps des cauchemars, pis j’aime pas ça, mais je dois quand même rester dans mon lit. ‘Ment donné, j’en ai fait un. Ça faisait pas peur, ben oui là, mais pas comme quand Jérémy y fait BEU dans mon dos. C’qu’y est différent d’avec ça, c’est que ça fait comme si kekun pinçait mon cœur, mais pas juste une minute, au moins cent minutes! Pis j’avais comme l’impression de courir mais de pas avancer. Tsé, je forçais vraiment fort, pis mes jambes faisaient bobo, comme si maman m’avait échappé sa tasse de café dessus. J’forçais tellement que j’étais presque couché par terre. Tsé quank-on essaye de courir dans l’eau, ben sa marche pas, en, ben c’était la même chose mais au moins mille fois plus pire. En plus là, y’avait kèkechose qui courait vers moi. Je le voyais pas, pass’ j’étais pas capable de tourner ma tête mais je sentais sa senteur qui puait jusque dans mon nez. Y puait tellement que mon cœur était pincé encore plus fort, pis je sentais que mon bedon remontait, comme quank-on vient de courir du plus vite qu’on peut pendant au moins cent minutes pis que t’as de la misère à respirer. Pis j’continuais d’essayer de courir, pis mes jambes marchaient pas, pis le truc en arrière se rapprochait, pis mon cœur me faisait mal, pis j’avais d’la misère à respirer, pis mes bras étaient comme du Jell-O, pis j’continuais d’essayer de courir, pis ça marchais pas, pis j’avais chaud, pis froid en même temps, pis le truc se rapprochait, de plus en plus, pis (BANG!!!) Ben là j’me réveille, mais je pleure pu, pass’ maman dit que chu pu un bébé. Mes cheveux sont tout mouillé, comme quand on sort d’la douche, mais y sont froids. Toutes mes couvertes pis mon oreiller sont à terre, mais je peux pas le ramasser pass’ j’ai comme pu d’énergie, j’ai comme mal dans l’cou, comme quand que j’écoute la tévévision couché… Pour de vrai, c’est pas pour ça veux pas aller chercher mes couvertes, ben oui là, mais aussi pass’ j’ai peur un monstre fasse BEU dans l’noir comme Jérémy pis qu’y mange mon orteil. Un peu plus tard, y commence à faire plus froid, mais j’ai pas bougé. J’entends l’horloge de la cuisine faire tictic pis ça m’énerve. Je suis pas capable de me rendormir tout seul, j’ai trop peur, fait que là, ben, j’essaie de mettre mon pied par terre, mais c’est pas facile…. Là je réussit, pis je me dépêche pass j’ai peur un monstre fasse BEU, pis j’ai pas envie qu’y me mange un orteil, fait que j’ai comme des frissons dans le dos. Mais là, y faut pas que je fasse de bruit pour pas réveiller personne, surtout pas le bébé, maman serait pas contente… E’ dit qu’y est fatikant des fois pass y pleure pass y fait pas encore ses nuits, pis là maman e’ le prend dans ses bras pis e’ va lui chanter une chanson super douce pour qu’y se rendorme pis que maman aussi. Mais là c’est dur, pass à chaque pas que j’avance dans le passage, ça fait cric cric, pis j’ai peur le chien se réveille pis qu’y pense chu un voleur méchant pis qui….. jappe pis qu’y réveille tout le cartier, pis là maman serait pas contente de moi pass j’aurais réveillé tout le cartier pis le bébé en plus. Mais là le chien se réveille pas fait que chu content. Pis là j’rentre dans la chambre de maman pis la je lui dit en chuchotant pour pas réveiller tout le cartier pis le bébé pis le chien….. mais là ça sort pas je sais pas pourquoi, ben oui là, j’avais la gorge bloquée, comme quand qu’on est vraiment triste pis qu’on veut pas pleurer pass on veut pas personne le remarque, fait que je touche à maman, chu sûr e’ va comprendre ce que je veux dire, mais sans les mots. Pis là maman ouvre les yeux, e’ me regarde, pis e’ dit : «Tabarnac Simon, t’as 5 ans, t’es assez vieux pour dormir tout seul!» fait que je retourne dans ma chambre pis j’attend que c’est le temps de déjeuner.
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4/10/2009 09:03:00 PM
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prose
écriture automatique
Un ami et moi avons pratiqué l'écriture automatique. Nous avons écrit l'un après l'autre pendant une minute, tout ce qui nous passait par la tête en essayant de faire un texte "continu". En normal, c'est moi et en itallique, mon ami.
Mon réchauffement: L'aurore blanche, pure et diaphragmetique aime qu'on la brusque pour la réveiller. Ainsi, il ne faut pas qu'on l'observe, mais qu'on la touche, le plus profondément possible.
Celui de mon ami: Toutefois encore sedue-nadej... Mais quoi la nué des quenouilles turquoises sautent dans un trou... noir. QUOI?
Le tout : L'hilarité chatouille mes côtes d'une façon énygmatique, comment, devinez. Metez-le dans l'eau bouillante et cousez. Il sera plus tendre. Malgré tout, elle danse; soie. Douceur délectable de la vie turquoise gît. Joie. Île. Crue. Monte monte monte, reste, reste, descend pas! Fuck, c'est descendu... j'aime mieux l'aimer comme elle est. Belle? non rond; je tourne en carré. Nigav est de 4. Hp de 58. Infertilité irresponsable et incommensurable. Gueule-la, ta, son, sa, ses! ses... ses... ces choses immorales sont bien plus agréables... manger des condoms en classe.
Mon réchauffement: L'aurore blanche, pure et diaphragmetique aime qu'on la brusque pour la réveiller. Ainsi, il ne faut pas qu'on l'observe, mais qu'on la touche, le plus profondément possible.
Celui de mon ami: Toutefois encore sedue-nadej... Mais quoi la nué des quenouilles turquoises sautent dans un trou... noir. QUOI?
Le tout : L'hilarité chatouille mes côtes d'une façon énygmatique, comment, devinez. Metez-le dans l'eau bouillante et cousez. Il sera plus tendre. Malgré tout, elle danse; soie. Douceur délectable de la vie turquoise gît. Joie. Île. Crue. Monte monte monte, reste, reste, descend pas! Fuck, c'est descendu... j'aime mieux l'aimer comme elle est. Belle? non rond; je tourne en carré. Nigav est de 4. Hp de 58. Infertilité irresponsable et incommensurable. Gueule-la, ta, son, sa, ses! ses... ses... ces choses immorales sont bien plus agréables... manger des condoms en classe.
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Dieu, l'impuissant
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4/10/2009 08:58:00 PM
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prose
Voyage vers les étoiles
J’ai deux billets,
Un allez simple,
Je te propose,
Un voyage vers les étoiles,
Un voyage astral,
Un voyage de l’âme,
Un voyage des sens,
Un voyage sensuel.
Un voyage vers les étoiles,
Vers le septième ciel. (bis) (bis)
Tu seras libre de partir,
Rien ne pourra te retenir,
Mais crois-moi, tu y resteras,
Trop confortable dans mes bras
Je te propose,Un voyage vers les étoiles.
J’ai deux billets,
Un allez simple,
Je te propose,
Un voyage vers les étoiles,
Un voyage astral,
Un voyage de l’âme,
Un voyage des sens,
Un voyage sensuel.
Un voyage vers les étoiles,
Vers le septième ciel. (bis) (bis)
Alors viens, tu ne risques rien
Tu n’as qu’à m’emboîter le pas
Alors viens, je serai tien
Tu ne le regretteras pas
Je te propose
Un voyage vers les étoiles
C'est une chanson que j'ai composé
la musique est aussi écrite
Un allez simple,
Je te propose,
Un voyage vers les étoiles,
Un voyage astral,
Un voyage de l’âme,
Un voyage des sens,
Un voyage sensuel.
Un voyage vers les étoiles,
Vers le septième ciel. (bis) (bis)
Tu seras libre de partir,
Rien ne pourra te retenir,
Mais crois-moi, tu y resteras,
Trop confortable dans mes bras
Je te propose,Un voyage vers les étoiles.
J’ai deux billets,
Un allez simple,
Je te propose,
Un voyage vers les étoiles,
Un voyage astral,
Un voyage de l’âme,
Un voyage des sens,
Un voyage sensuel.
Un voyage vers les étoiles,
Vers le septième ciel. (bis) (bis)
Alors viens, tu ne risques rien
Tu n’as qu’à m’emboîter le pas
Alors viens, je serai tien
Tu ne le regretteras pas
Je te propose
Un voyage vers les étoiles
C'est une chanson que j'ai composé
la musique est aussi écrite
Magnifiquement écrit par
Dieu, l'impuissant
Quand? eh bien :
4/10/2009 08:32:00 PM
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poème
Amants éternels
Voici un poème que j'ai écrit pour un examen
La nuit glisse à pas lents, et j'en suis bien content,
Ça me laisse le temps, les paupières closes,
De me rappeler l'époque où nos enfants
Ont poussé, trop rapidement, comme des roses.
Souviens-toi comment on a semé notre amour,
Les mots doux plantés ont grandi malgré les rudes
Hivers ; on vivait des extrêmes tous les jours!
Puis, on s'enracina profondément, moins prudes.
Notre fleur ne connut après qu'une saison:Le printemps.
Or, la fin de cette floraison
Chaleureuse amène la froideur il me semble
Je resterais dans tes bras une éternité
En fait, j'en suis obligé, car, c'est vérité,
Le Trépas par chance nous a cueilli ensemble.
La nuit glisse à pas lents, et j'en suis bien content,
Ça me laisse le temps, les paupières closes,
De me rappeler l'époque où nos enfants
Ont poussé, trop rapidement, comme des roses.
Souviens-toi comment on a semé notre amour,
Les mots doux plantés ont grandi malgré les rudes
Hivers ; on vivait des extrêmes tous les jours!
Puis, on s'enracina profondément, moins prudes.
Notre fleur ne connut après qu'une saison:Le printemps.
Or, la fin de cette floraison
Chaleureuse amène la froideur il me semble
Je resterais dans tes bras une éternité
En fait, j'en suis obligé, car, c'est vérité,
Le Trépas par chance nous a cueilli ensemble.
Magnifiquement écrit par
Dieu, l'impuissant
Quand? eh bien :
4/10/2009 08:30:00 PM
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poème
L'horloge tourne
L'horloge tourne
Vacarme continu
Ma vue tourne
Mon travail continue
La machine tourne
Production continue
En rond je tourne
Effort continu
Le monde tourne
Et ma tête continue
Ma tête tourne
Mais le monde continue
Vacarme continu
Ma vue tourne
Mon travail continue
La machine tourne
Production continue
En rond je tourne
Effort continu
Le monde tourne
Et ma tête continue
Ma tête tourne
Mais le monde continue
Magnifiquement écrit par
Dieu, l'impuissant
Quand? eh bien :
4/10/2009 08:02:00 PM
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